Tout
d’abord c’est un détournement affectif et plus précisément un désordre
psychologique dont sont atteints certains enfants se trouvant au centre de
procédures conflictuelles au cours desquelles l’un des parents (souvent la
mère, car c’est à elle que sont confiés le plus souvent les enfants, mais bien
sûr valable dans les deux sens) effectue très habilement et minutieusement un «
véritable lavage de cerveau » visant à détruire l’image de l’autre parent.
Par une campagne de dénigrement subtil, il conduit l’enfant à rejeter, voire
diaboliser l’autre parent qu’il aimait auparavant. Comme en publicité, le
succès de l’opération dépend de la répétition du message et de l’intensité avec
laquelle l’enfant est soumis à ce traitement.
Il
est alors impératif de « déprogrammer » l’enfant et de le libérer de
l’emprise du parent aliénant.
Seule
la fermeté des juridictions ou de ceux qui se doivent de faire respecter un
jugement peut le sauver.
Les juges
doivent l’affranchir du sentiment de peur et de trahison qu’il ressent à
l’égard du parent aliénant. L’angoisse de l’enfant, c’est l’abandon du parent
aliénant avec lequel il fait corps.
Il
développe à partir de ce moment-là un sens aigu de la vigilance pour ne pas
déplaire au parent aliénant (c’est ce que l’on peut entendre de manière
récurrente : « je veux bien dire, mais je ne peux pas ».)
L’enfant
devient également expert avant l’âge pour décrypter l’environnement émotionnel,
dire des vérités partielles et enfin s’enliser dans des mensonges. Ce sont des
stratégies de survie qu’il se sent obligé d’apprendre afin de préserver la paix
à la maison et éviter les attaques émotionnelles du parent gardien. N’oublions
pas aussi qu’il s’agit d’une véritable maltraitance psychique suscitant un
traumatisme qui peut se poursuivre jusqu’à l’âge adulte.
Le
détecter nécessite une bonne connaissance du sujet et ce, d’autant plus que le
parent aliénant constitue à lui seul une entrave. Car ce parent est
intelligent, subtil, et ne s’oppose jamais ouvertement.
En
dehors des 16 points de détails pour se rendre compte de ce genre de situation,
quatre critères résument à eux seuls cette maltraitance.
1°)
l’entrave à la relation et au contact.
2°)
les allégations non fondées d’abus en tous genres.
3°)
la réaction de peur des enfants.
4°)
la détérioration de la relation depuis la séparation.
Ce
dernier critère est un élément essentiel dans l’évaluation de la situation. Avant
le tumulte de la procédure, l’enfant était très attaché au parent non aliénant.
Normal…. Il était proche de lui partout, à l’école, à la maison, etc….
Que
de chemins ils nous restent à parcourir pour bien comprendre cela, que nos
juges puissent en tirer toutes les conséquences désastreuses et d’ordonner le
changement immédiat de résidence d’un enfant victime de ce syndrome avant qu’il
ne soit « irréversiblement contaminé ».
Alors
que dans les faits le parent qui s’adonne à cette perversité s’en tire toujours
avec : « les honneurs de la guerre » .Comme quoi c’est à
croire qu’il vaut mieux être manipulateur que manipulé.
Lavage de cerveau
des enfants par l’un des deux parents:
Si un enfant se
braque contre l’un des ses deux parents, alors vous pourriez être victime du SYNDROME
D’ALIENATION PARENTALE.
L’un des deux parents sabote
activement votre rapport avec l’enfant ? Une des tactiques suivantes
s’applique-t-elle à votre situation ? Si oui, l’esprit de vos enfants est
programmé contre vous !
1.
Planifie-t-il des activités pour les enfants
durant votre
temps de visite ?
2.
Tente-t-il d’inciter les enfants à considérer son nouveau
compagnon comme leur vrai père ou mère ?
3.
Jette-il le courrier et les paquets que vous
envoyez aux enfants ?
4.
Votre ex vous traite-il avec mépris ou vous
couvre-t-il d’injures en présence des enfants ?
5.
Refuse-t-il de vous informer des activités
des enfants tels que jeux à l’école, ou autres
auxquels participent ces derniers ?
6.
Vous parle-t-il de façon dérogatoire au
sujet de votre nouvelle compagne ou nouveau compagnon ?
7.
Désobéit-il aux ordres de la Cour en vous
déniant votre droit de visite sur les enfants ?
8.
Néglige-t-il de vous informer des
rendez-vous importants (médecin, dentiste, psychologue..) ?
9.
Engage-t-il l’aide d’autres personnes, tel
que nouveau compagnon, compagne, grands
parents ou autres pour l’aider à laver le cerveau des enfants, à les braquer
contre vous ?
10.
Prend-il des décisions importantes
concernant les enfants sans jamais vous consulter ?
11.
A t-il essayé de changer ou a-t-il changé le
nom de famille des enfants ?
12.
Vous a-t-il refusé de voir les dossiers
scolaires ou médicaux ?
13.
Est-il partie en vacances en laissant les
enfants sous la garde de quelqu’un d’autre ?
14.
A –t-il dit aux enfants que les vêtements
que vous leur avez achetés étaient laids ou leur a-t-elle interdit de les
porter ?
15.
Menace-t-il de punir les enfants s’ils vous
téléphonent ou communiquent avec vous de quelque façon que ce soit ?
16.
Vous blâme-t-il du mauvais comportement des
enfants ?
Si vous êtes soumis à l’une des situations qui précèdent vous
êtes un parent dont les enfants sont soumis à un lavage de cerveau. On les
braque contre vous.
NE RIEN FAIRE SERAIT UNE FAUTE envers les enfants.