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La médiation familiale

  • par Jean-Luc Bigeard
  • 04 janv., 2019

Ceci est le sous-titre de votre nouveau post

« La médiation familiale est un processus de construction ou de reconstruction du lien         familial, axé sur l’autonomie et la responsabilité des personnes concernées par des situations de rupture ou de séparation dans lequel un tiers impartial, indépendant, qualifié et sans pouvoir de décision, le Médiateur Familial favorise à travers l’organisation d’entretiens confidentiels, leur communication, la gestion de leur conflit dans le domaine familial entendu dans sa diversité et dans son évolution. »

                                                                                 Conseil National Consultatif de la Médiation Familiale. 4 Avril 2003

 

          A QUI S’ADRESSE LA MEDIATION ?


  • Aux parents mariés ou non, qui divorcent, se séparent ou envisagent de le faire.
  • Aux parents déjà séparés, qui cherchent à mettre un terme à des conflits persistants.
  • A ceux qui veulent préserver leurs enfants des conséquences des conflits entre parents.
  • Aux grands-parents désireux de maintenir des relations avec leurs petits-enfants.
  • Aux familles dont les enfants sont placés et aux familles d’accueil qui vivent des désaccords conflictuels à propos des enfants.
  • Aux frères et sœurs confrontés à des conflits liés aux problèmes successoraux ou autres.

 

        A QUOI SERT LA MEDIATION ?

  • A apaiser les tensions.
  • A rétablir le dialogue.
  • A redéfinir les liens familiaux.
  • A réorganiser la vie quotidienne dans l’intérêt des enfants.

  

COMMENT ?

  • Au cours d’une série d’entretiens d’une heure trente à deux heures, soumis à la règle     de confidentialité.
  • Dans une dynamique d’accompagnement et de responsabilisation.
  • En abordant les différents aspects du conflit.
  •  En négociant et en construisant des accords respectueux des besoins de chacun.

 

AVEC QUI ?

 Avec des médiateurs familiaux qualifiés. Le médiateur familial est une tierce personne, impartiale, tenue au secret professionnel et à une déontologie.

 Son rôle est de permettre l’échange dans un climat de confiance et de respect mutuel. Il favorise l’expression des attentes et des besoins de chacun.

 

QUAND ?

 A tout moment d’une situation conflictuelle.  Avant, pendant, après ou en dehors de toute procédure judiciaire.

  La médiation peut être mise en place à la demande d’un juge, des avocats, d’autres professionnels ou des intéressés eux-mêmes.

Les accords signés peuvent faire l’objet d’une homologation par le juge compétent, si les  personnes le souhaitent.


par Jean-Luc Bigeard 4 janvier 2019

Tout d’abord c’est un détournement affectif et plus précisément un désordre psychologique dont sont atteints certains enfants se trouvant au centre de procédures conflictuelles au cours desquelles l’un des parents (souvent la mère, car c’est à elle que sont confiés le plus souvent les enfants, mais bien sûr valable dans les deux sens) effectue très habilement et minutieusement un « véritable lavage de cerveau » visant à détruire l’image de l’autre parent. Par une campagne de dénigrement subtil, il conduit l’enfant à rejeter, voire diaboliser l’autre parent qu’il aimait auparavant. Comme en publicité, le succès de l’opération dépend de la répétition du message et de l’intensité avec laquelle l’enfant est soumis à ce traitement.


Il est alors impératif de « déprogrammer » l’enfant et de le libérer de l’emprise du parent aliénant.

Seule la fermeté des juridictions ou de ceux qui se doivent de faire respecter un jugement peut le sauver. Les juges doivent l’affranchir du sentiment de peur et de trahison qu’il ressent à l’égard du parent aliénant. L’angoisse de l’enfant, c’est l’abandon du parent aliénant avec lequel il fait corps.

Il développe à partir de ce moment-là un sens aigu de la vigilance pour ne pas déplaire au parent aliénant (c’est ce que l’on peut entendre de manière récurrente : « je veux bien dire, mais je ne peux pas ».)

L’enfant devient également expert avant l’âge pour décrypter l’environnement émotionnel, dire des vérités partielles et enfin s’enliser dans des mensonges. Ce sont des stratégies de survie qu’il se sent obligé d’apprendre afin de préserver la paix à la maison et éviter les attaques émotionnelles du parent gardien. N’oublions pas aussi qu’il s’agit d’une véritable maltraitance psychique suscitant un traumatisme qui peut se poursuivre jusqu’à l’âge adulte.

 Le détecter nécessite une bonne connaissance du sujet et ce, d’autant plus que le parent aliénant constitue à lui seul une entrave. Car ce parent est intelligent, subtil, et ne s’oppose jamais ouvertement.

En dehors des 16 points de détails pour se rendre compte de ce genre de situation, quatre critères résument à eux seuls cette maltraitance.

1°) l’entrave à la relation et au contact.

2°) les allégations non fondées d’abus en tous genres.

3°) la réaction de peur des enfants.

4°) la détérioration de la relation depuis la séparation.

 

Ce dernier critère est un élément essentiel dans l’évaluation de la situation. Avant le tumulte de la procédure, l’enfant était très attaché au parent non aliénant. Normal…. Il était proche de lui partout, à l’école, à la maison, etc….

 

Que de chemins ils nous restent à parcourir pour bien comprendre cela, que nos juges puissent en tirer toutes les conséquences désastreuses et d’ordonner le changement immédiat de résidence d’un enfant victime de ce syndrome avant qu’il ne soit « irréversiblement contaminé ».

Alors que dans les faits le parent qui s’adonne à cette perversité s’en tire toujours avec : « les honneurs de la guerre » .Comme quoi c’est à croire qu’il vaut mieux être manipulateur que manipulé.


Lavage de cerveau des enfants par l’un des deux parents:

Si un enfant se braque contre l’un des ses deux parents, alors vous pourriez être victime du SYNDROME D’ALIENATION PARENTALE.

 

L’un des deux parents sabote activement votre rapport avec l’enfant ? Une des tactiques suivantes s’applique-t-elle à votre situation ? Si oui, l’esprit de vos enfants est programmé contre vous !

 

1.     Planifie-t-il des activités pour les enfants durant votre temps de visite ?

 

2.     Tente-t-il  d’inciter les enfants à considérer son nouveau compagnon comme leur vrai père ou mère ?

 

3.     Jette-il le courrier et les paquets que vous envoyez aux enfants ?

 

4.     Votre ex vous traite-il avec mépris ou vous couvre-t-il d’injures en présence des enfants ?

 

5.     Refuse-t-il de vous informer des activités des enfants tels que jeux à l’école, ou autres auxquels participent ces derniers ?

 

6.     Vous parle-t-il de façon dérogatoire au sujet de votre nouvelle compagne ou nouveau compagnon ?

 

7.     Désobéit-il aux ordres de la Cour en vous déniant votre droit de visite sur les enfants ?

 

8.     Néglige-t-il de vous informer des rendez-vous importants (médecin, dentiste, psychologue..) ?

 

9.     Engage-t-il l’aide d’autres personnes, tel que nouveau compagnon, compagne, grands parents ou autres pour l’aider à laver le cerveau des enfants, à les braquer contre vous ?

 

10.   Prend-il des décisions importantes concernant les enfants sans jamais vous consulter ?

 

11.   A t-il essayé de changer ou a-t-il changé le nom de famille des enfants ?

 

12.   Vous a-t-il refusé de voir les dossiers scolaires ou médicaux ?

 

13.   Est-il partie en vacances en laissant les enfants sous la garde de quelqu’un d’autre ?

 

14.   A –t-il dit aux enfants que les vêtements que vous leur avez achetés étaient laids ou leur a-t-elle interdit de les porter ?

 

15.   Menace-t-il de punir les enfants s’ils vous téléphonent ou communiquent avec vous de quelque façon que ce soit ?

 

16.   Vous blâme-t-il du mauvais comportement des enfants ?

 

Si vous êtes soumis à l’une des situations qui précèdent vous êtes un parent dont les enfants sont soumis à un lavage de cerveau. On les braque contre vous.

  NE RIEN FAIRE SERAIT UNE FAUTE envers les enfants.



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